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J’ai tué le slow freelancing.
Maintenant, je te présente…
Le smart freelancing.
Son évolution ultime.
Son aboutissement.
Sa forme suprême.
Dans cette 13ème édition de la newsletter (et 1ère édition sous le nom de Smart Freelancing), je t’explique ce qui va lui succéder.
Ah, et j’fais les présentations avec lui, là 🦊
Hop hop hop ! Avant de démarrer, si ce n’est pas encore fait, je t’invite à :
Me contacter pour que j’écrive pour toi ou avec toi (Copywriting & LinkedIn).
Voir comment je peux t’accompagner dans ton développement en freelance.
Rejoindre +35 aspirants slow freelances déjà formés avec OSF.
Me suivre sur LinkedIn, Instagram, Youtube ou sur mon podcast.
C’est bon ? Allez, go.
Le problème avec le slow freelancing
Le slow freelancing m’était apparu comme une bonne idée, à l’époque.
Mais plus le temps a passé, plus j’ai réalisé que c’était un piège.
Et le piège s’est refermé sur moi.
Lentement, progressivement, insidieusement.
Je me suis donné l’image d’un fainéant, d’un paresseux, d’un branlos et donc d’un freelance peu professionnel.
Le pire, c’est que je l’ai choisi volontairement.
Sauf qu’avec le recul, je réalise mon erreur.
Je suis passé pour :
Un vendeur de rêve aux yeux d’une partie de ma cible qui n’y croyait pas
Un c*nnard arrogant et prétentieux aux yeux de certaines personnes
Un mauvais freelance aux yeux d’une autre partie de ma cible
Bref, pas le meilleur choix stratégique.
Au fil des mois et des années, je dois admettre que ça n’a pas été un franc succès :
J’ai généré à peine quelques milliers d’euros grâce au slow freelancing
J’ai vu mon nombre de demandes entrantes de clients en presta s’effondrer
Jusqu’en 2022, je recevais facilement 2-3 demandes par semaines, je devais en refuser une bonne partie ou les transférer à d’autres freelances.
L’été 2023, quand j’ai vu que je ne recevais plus que 2-3 demandes par mois, je me suis dit qu’il y avait un problème.
Le slow freelancing a abimé mon image.
Bien sûr, d’autres facteurs expliquent que j’ai moins de leads qu’avant, notamment le fait que j’ai peu à peu délaissé tous mes canaux d’acquisition au fil des ans… mais je t’en parlerai dans une prochaine newsletter.
N’empêche qu’il m’a fait passer pour ce que je ne suis pas :
On me pense lent, alors que je travaille beaucoup plus vite que la moyenne (je réfléchis et j’écris hyper rapidement depuis toujours)
On croit que j’ai de longs délais de livraison, alors qu’au contraire je livre dans des deadlines très courtes (des jours, parfois 1-2 semaines)
On se dit que je bâcle mon travail, que je me contente du minimum syndical et que je néglige la qualité alors que j’ai presque 100% de satisfaction client
On m’associe à la paresse et à l’oisiveté, pas forcément ce qu’on recherche chez un freelance à qui on va donner son argent
La vérité, c’est que j’ai laissé mon égo prendre le dessus.
J’ai toujours aimé la provoc’ et je trouvais ça marrant, mon petit paresseux et cette image, au début.
Parce que je pensais que ça allait me valoriser et me générer du business.
Bah oui, vu que j’arrive à gagner 5K/mois en travaillant 3h/j, ça veut forcément dire que je suis très bon et que je travaille vite, non ?
Tout le monde n’a pas été convaincu… et je peux le comprendre.
J’ai manqué de finesse, de crédibilité et de professionnalisme dans mon image.
J'ai eu beau expliquer encore et encore qu'être fainéant est un avantage compétitif parce qu'on est plus efficients que les autres, la réalité, c'est que... pas grand monde n'a envie de bosser avec un flemmard qui dit vouloir travailler le moins possible.
Le slow freelancing du br*nleur, le paresseux tout mou et l’ensemble de cet univers néfaste vont donc disparaître.
Pas juste parce que je veux redorer mon image, gagner plus et revenir dans le game, non.
Mais parce que je pense que je peux aider plus de freelances à travailler moins et à gagner plus si je change tout.
Le rebranding ne va pas changer le fond, mais la forme.
Le concept reste le même :
Concentration → Efficacité → Productivité → Performance → Rentabilité → Prospérité → Bonheur.
Avec le slow Freelancing, je te proposais de ralentir. Avec le smart freelancing, tu peux ralentir ou accélérer. C’est comme tu veux.
On a bien rigolé, maintenant on passe aux choses sérieuses.
Plutôt que de te vendre le slow et te dire que tu dois bosser moins, je vais t’apprendre comment précisément et concrètement comment travailler mieux, puis t’en feras ce que tu veux.
Si tu veux t’en servir pour lancer 3 projets, tu peux. Si tu veux doubler ton CA, tu peux. Si tu veux bosser 2h/j, tu peux.
Je te donne la clé du freelancing rentable et la liberté qui va avec.
Le futur, c’est le smart freelancing
Pourquoi smart ?
Parce que la communauté l’a décidé, déjà :
Sur LinkedIn :
Et ici :
Sur LinkedIn et Substack, vous avez été unanimes.
Longue vie au smart freelancing.
Mais plus sérieusement, pourquoi cette nouvelle identité ?
Le smart freelancing, c’est travailler malin, en bonne intelligence. C’est devenir un freelance efficace et productif qui avance vite et bien. C’est s’épanouir en prospérant, tout en prenant soin de soi.
Le smart freelancing met à l’honneur la performance, parce que sans performance, pas de rentabilité. Et sans rentabilité… va falloir bosser beaucoup, pour peu de résultats.
En fait, que l’on parle de slow freelancing ou de smart freelancing, dans les faits on parle de la même chose : les deux termes décrivent parfaitement ma manière de travailler, et peut-être la tienne.
Le smart freelancing prend la relève de la mission première et de l'objectif initial du slow freelancing : aider les freelances à devenir plus rentables, libres et heureux.
L’idée : minimiser les efforts et maximiser le rendement pour un freelancing plus sain, durable et pérenne.
Travailler plus vite pour réduire ton temps de travail et faire plus en moins d’heures c’est la base.
Que ce soit pour pouvoir augmenter tes revenus, travailler moins d'heures chaque jour, avancer plus vite sur tes projets ou simplement libérer du temps pour ta vie perso.
Si tu te sentais slow freelance, tu vas sans doute te sentir smart freelance.
Si tu ne sentais pas slow freelance, tu vas peut-être te sentir smart freelance.
Dis-moi en commentaire comment tu te perçois et explique-moi pourquoi !
Sans (trop de) surprise, voici ma nouvelle mascotte
Il est beau, hein ? 🥹
Le paresseux a laissé sa place au renard.
Malin, rusé et futé, il me ressemble au final bien plus que le paresseux.
Et toi aussi, sans doute.
Parce qu’en tant que freelance, on est quand même là pour aider nos clients au maximum, obtenir les meilleurs résultats et générer le plus de bénéfices possible.
N’oublie pas qu’en tant que freelances, il n’y a que 3 indicateurs qui comptent vraiment. Dans l’ordre :
Ta rentabilité
Ta satisfaction client
Les résultats de tes clients
Tout le reste, c’est pour l’égo et pour faire joli.
🦊
De quoi on va parler dans les prochaines éditions ?
Suite aux votes, on va surtout aborder les thèmes 1, 2 et 4.
Ça va chauffer.
Alors ne loupe pas les prochaines éditions !
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Au fait, je lance une chaîne YouTube !
Enfin, ON lance une chaîne YouTube.
Avec mes potes Joris et Guillaume.
On te parle d’internet sur internet.
De sujets sérieux, sans être (trop) sérieux.
Je te laisse découvrir notre vidéo ici, on est preneur de tes retours en commentaires :
Mon propre concept était en train de tuer mon business à petit feu.
Alors, j’ai dû réagir.
J’espère que c’est plus clair pour toi.
Si tu as d’autres questions concernant ce changement de cap, je peux te répondre.
Dans les prochains jours, je poursuis mon grand rebranding avec un nouveau LinkedIn tout propre, une mise à jour du podcast, du nouveau du côté de mes offres en copywriting & ghostwriting et bientôt de nouvelles formations.
À lundi dans deux semaines !
PS : Si tu veux réagir ou discuter, tu peux répondre à ce mail.
PPS : Si tu veux que je t’accompagne pour développer ton activité, voilà comment je peux t’aider.
PPPS : Si t’as besoin de déléguer ta stratégie et/ou ta création de contenu, je suis là.